Tweeter button
Facebook button
Myspace button

Articles avec le tag ‘up’


Operation Ivy à donner Rancid. Edge Up aura donné Street Poison. Oui, j’ose la comparaison et c’est loin d’être péjoratif ! Les quatre punk-rockers du 93 nous on pondu un album éponyme ou l’on retrouve une rage, une urgence et une authenticité dans le punk-rock que l’on avait, à en croire la claque que provoque l’écoute, plus ou moins perdue.

Ça démarre fort avec Rat Dance. Chanson qui au passage à servit a faire le premier clip du groupe d’ailleurs. Vous me direz : Pourquoi tant de violences ? Mais parce que là il y a urgence bordel ! Et les musiques comme Paper Rules, Holiday in the can ou encore I don’t take no shit sont la pour nous le rappeler.

Friends & Family nous montre toute la complémentarité et l’efficacité dans le chant rappé des deux chanteurs. Et un conseil, ne vous amusez pas a imiter leur voix. Samy, le chanteur, a une voix rocailleuse qui pourrais rivaliser avec celle des Union Jack. Quand à celle du guitariste, Loki, c’est impossible pour la simple et bonne raison que c’est comme si il en possédait plusieurs ! Vous me croyez pas ? Écoutez plutôt la différence entre le reste de l’album et la très  skaisante Sick man, ou encore Kid of War.

Ils nous prouve toute leur ouverture musical en faisant une reprise d’Edge Up. Death blow, ou ils nous font la joie d’incorporer de l’orgue, nous rappelant obligatoirement Rancid ou plus personnellement Tim Armstrong & The Aggrolites. Certaines musiques comme Jimmy Punk, Open Bar, Hope’s within you ou encore Riot (en featuring avec Born to Lose ) nous apporte des mélodies à la gratte qui sont la bienvenue pour calmer un peu le jeu… Dans une certaine mesure bien évidement, on a pas affaire à du pop-punk.

Avant de terminer ma très négative première chronique… Je vais quand même emmètre une petite déception.  Sur leur live au SoundBox de Goeland, Franky, avec ses lignes de basses m’a laissé bouche bée. Avec le filé de bave qui va bien ! Sur l’album, il faut hélas parfois tendre l’oreille pour l’entendre. Snif…

« Street Poison », dans le genre album punk-rock français chanté en anglais, est un petit bijou. Le pire dans tous ça, c’est que je suis un défenseur du chant en français. Cocorico…

L’exception qui confirme la règle ? En toute mauvaise foi, ouai.

Vidéo
Dernière Chronique
Catégories