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Archive pour novembre 2010

Chronique de l’album « in Desolation » Off With Theirs Heads (2010-epitaph records) par punkorancidfrommars

Salut!

vous connaissez Off With Theirs Heads?

C’est 4 mecs de Minneapolis férus de punk rock (évidemment!) rassemblés autour du chanteur/guitariste à la voix rocailleuse Ryan Young, qui après avoir livrés un premier album sur No idea records voilà deux ans viennent d’en sortir un second mais ce coup là chez Epitaph records (décidément ils ont tous les meilleurs ceux là!!); et à l’écoute du disque on comprend pourquoi!!!!

D’entrée de jeu ça commence pied au plancher avec « drive » gros son de guitares,basse batterie au diapason et la voix mesdames messieurs quelle voix!! On continue avec « their own medicine » et « trying to breathe (énorme avec son refrain fédérateur perso mon titre préféré du cd) les textes sont sombres et pessimistes( « It’s all I can hope for living in desolation », »I’ve got separate myself from the rest of the world »).La suite déboite autant « zzyzx » et « the eyes of death » donnent aussi le change et on se demande où vont ils s’arrêtter? La suite c’est « old man » dont le début ressemble à un titre des Dropkick murphy’s, petit bémol concernant « all I can do » qui après un début patate (à l’image des autres titres écoutés jusqu’à présent!) ne tiens malheureusement pas ces promesses à cause d’un refrain un peu faiblard. Mais ce n’est qu’éphémère puisque les deux titres suivants « I need you » et « spare time » remettent les choses là où on les avais laissés de l’énergie de l’énergie et encore de l’énergie!!!

Bizarrement la suite est un peu plus calme « I just want you to know »(et son « you’re always on my mind ») est plus posé sans forcément faire dans la ballade. La ballade justement,la voilà c’est  »my episodes »où Ryan prend la guitare accoustique (bon morceau quand même bien qu’un peu calme!!). L’album s’achève sur « clear the air » et on finis en feu d’artifice!

Quoi c’est déjà finis?

Waouh quelle claque! 12 titres 33 minutes de pure intensité y’a plus qu’une chose à faire remettre une nouvelle fois le cd pas le choix! Et pour ceux qui ne connaittrais pas ce super groupe j’ai mis un lien éclatez vous bien!!

        http://www.youtube.com/watch?v=BgrZ1Jg-CTE

See ya

THE SOCIAL NETWORK réalisé par David Fincher avec Jesse Eisenberg, Andrew Garfield, Justin Timberlake.

Date de sortie: 13 octobre 2010

Le réalisateur américain, David Ficher n’a plus rien à prouver, et pourtant après plusieurs succès critique et publique, avec entre autre, Seven, The Game, Fight Club, L’étrange histoire de Benjamin Button, il réussi encore une fois à nous surprendre, avec The Social Network.

Le thème du film, Facebook, quoi de plus ancré à l’heure actuelle, dans le quotidien de millions de personnes? C’est un film qui fait état d’un phénomène auquel nous contribuons tous et qui s’adresse à toute une génération, celle communément appelée  »2.0 ». On y découvre la création du réseau social le plus populaire du monde et le personnage emblématique qui est à l’origine de cette idée, Mark Zuckerberg interprété avec brio par Jesse Eisenberg (Bienvenue à Zombieland). Le film nous fait un état des lieux avant, pendant et après la déferlante Facebook, un cahier des charges de ce qui a été perdu mais aussi gagné. La réalisation efficace de Fincher, retranscrit l’énergie et la perpétuelle effervescence qui anime la toile.

La note Rockypunk: La réalisation maîtrisée, la performance des acteurs et le thème on ne peut plus actuel, sont les trois raisons majeures qui justifie que l’on se précipite en salle. En quelques mots: Rockypunk aime ça.


Operation Ivy à donner Rancid. Edge Up aura donné Street Poison. Oui, j’ose la comparaison et c’est loin d’être péjoratif ! Les quatre punk-rockers du 93 nous on pondu un album éponyme ou l’on retrouve une rage, une urgence et une authenticité dans le punk-rock que l’on avait, à en croire la claque que provoque l’écoute, plus ou moins perdue.

Ça démarre fort avec Rat Dance. Chanson qui au passage à servit a faire le premier clip du groupe d’ailleurs. Vous me direz : Pourquoi tant de violences ? Mais parce que là il y a urgence bordel ! Et les musiques comme Paper Rules, Holiday in the can ou encore I don’t take no shit sont la pour nous le rappeler.

Friends & Family nous montre toute la complémentarité et l’efficacité dans le chant rappé des deux chanteurs. Et un conseil, ne vous amusez pas a imiter leur voix. Samy, le chanteur, a une voix rocailleuse qui pourrais rivaliser avec celle des Union Jack. Quand à celle du guitariste, Loki, c’est impossible pour la simple et bonne raison que c’est comme si il en possédait plusieurs ! Vous me croyez pas ? Écoutez plutôt la différence entre le reste de l’album et la très  skaisante Sick man, ou encore Kid of War.

Ils nous prouve toute leur ouverture musical en faisant une reprise d’Edge Up. Death blow, ou ils nous font la joie d’incorporer de l’orgue, nous rappelant obligatoirement Rancid ou plus personnellement Tim Armstrong & The Aggrolites. Certaines musiques comme Jimmy Punk, Open Bar, Hope’s within you ou encore Riot (en featuring avec Born to Lose ) nous apporte des mélodies à la gratte qui sont la bienvenue pour calmer un peu le jeu… Dans une certaine mesure bien évidement, on a pas affaire à du pop-punk.

Avant de terminer ma très négative première chronique… Je vais quand même emmètre une petite déception.  Sur leur live au SoundBox de Goeland, Franky, avec ses lignes de basses m’a laissé bouche bée. Avec le filé de bave qui va bien ! Sur l’album, il faut hélas parfois tendre l’oreille pour l’entendre. Snif…

« Street Poison », dans le genre album punk-rock français chanté en anglais, est un petit bijou. Le pire dans tous ça, c’est que je suis un défenseur du chant en français. Cocorico…

L’exception qui confirme la règle ? En toute mauvaise foi, ouai.

Chronique de l’album « The dissent of man » de Bad religion (Epitaph record 2010)

 » Do you remember when…. »

C’est par ces quelques mots sortant de la voix de Greg Graffin, que débute le nouvel album « The dissent of man » du plus célèbre groupe punk rock californien j’ai nommé Bad Religion. Toujours là après trente ans les gars reprennent du service et le moins que l’on puisse dire c’est que l’on n’est pas déçus!

Quarante minutes de bonheur ininterrompu et quinze titres où l’on retrouve tous les ingrédients qui font que l’on aime ce sixtet magique ( je suis pas sur! Est ce que cela ce dit pour un groupe de six membres?).

Textes engagés, guitares acérés, harmonies vocales et mélodies efficaces sont au menu pour preuve le premier titre sorti « The devil in stitches » tout simplement parfait!

Et que dire du titre « won’t somebody » (écoutez le solo je sais pas si c’est Brett ou Brian Baker mais ça déchire!).

L’album oscille entre titres plus bourrins (comme « Meeting of minds », « Someone to believe » ou « Where the fun is » qui rapelle l’intro « d’American jésus ») et plus calmes (on entend des guitares accoustiques sur « Turn your back on me » ou « I won’t say anythong ») ce qui n’est pas pour nous déplaire.

Ah au fait est ce bien utile de préciser que cet album sort sur le label Epitaph. ( Label de punk rock numéro un créé par Brett Gurewitz guitariste et co-fondateur du groupe mais ça vous le saviez!).

Cela fait plaisir d’entendre de tels albums et personnellement moi j’attend le prochain avec impatience!

See ya !

par punkorancidfrommars

The Apers est un groupe de punk venant directement de Rotterdam, il nous présentent la leurs nouvel galettes, après leurs derniers album « You Are Only As Strong As The Table You Dance On » en 2009.
« Still Cruisin’ After All These Beers » envoie du bois on a faire à du bon punk mélo et sa reste simple pas de chichi ceux qui ne déplait pas, les paroles sont directe mais efficaces, quand au riff elle envoie lourd aussi dans le genre punk de base mais c’est plaisant. le groupe enchaîne les concerts 800 concerts à travers toute l’Europe !
c’était donc obligé que ce derniers album arrivent dans nos contrées et Dirty witch nous fait découvrir ce bon groupe qui on l’espère tournera encore et nous fera partager d’autre bonne galette de ce genre.

Shows à venir
25 Nov 2010 20:00
De Witte Brug Lekkerkerk, -, NETHERLANDS
26 Nov 2010 21:00
w/ Tough @ ACU Utrecht, NL, -, NETHERLANDS
27 Nov 2010 20:00
Little Devil w/ Tough Tilburg (NL), -, NETHERLANDS
28 Nov 2010 21:00
w/ Tough @ De Engel Den Helder, NL, -, NETHERLANDS
13 Jan 2011 20:00
Orpheum w/ The Queers Tampa, FL, USA, FL
14 Jan 2011 20:00
The Social w/ The Queers Orlando, FL, USA, FL
15 Jan 2011 20:00
Churchill’s Pub w/ The Queers Miami, FL, USA, Florida
16 Jan 2011 20:00
Jack Rabbits w/ The Queers Jacksonville, FL, USA, FL
18 Jan 2011 20:00
The Camel w/ The Queers Richmond, VA
19 Jan 2011 20:00
Black Cat w/ The Queers Washington, DC
20 Jan 2011 20:00
The Barbary w/ The Queers Philadelphia, PA, USA, PA
21 Jan 2011 20:00
Maxwell’s w/ The Queers Hoboken, NJ, USA, New Jersey
22 Jan 2011 19:30
Mercury Lounge w/ The Queers New York, NY, USA, NY
23 Jan 2011 20:00
T T the Bear’s Place w/ The Queers Cambridge, MA, USA, Massachuse
24 Jan 2011 20:00
Geno’s Rock Club w/ The Queers Portland, Maine
26 Jan 2011 20:00
l’Agitée w/ The Queers + Riptides Québec, QC, CAN, Quebec, CANADA
27 Jan 2011 20:00
Mavericks w/ The Queers + Riptides Ottawa, ON, CANADA
28 Jan 2011 20:00
Horseshoe Tavern w/ The Queers + Riptides Toronto, Ontario, CANADA
29 Jan 2011 20:00
Call the Office w/ The Queers + Riptides London, ON, CANADA
30 Jan 2011 20:00
The Mohawk Place w/ The Queers Buffalo, New York
1 Feb 2011 20:00
Frankie’s w/ The Queers Toledo, Ohio
2 Feb 2011 20:00
Bernie’s Distillery w/ The Queers Columbus, Ohio
3 Feb 2011 20:00
Shamrock’s Pub w/ The Queers Huntington, WV
4 Feb 2011 20:00
The Get Down w/ The Queers Asheville, NC
5 Feb 2011 20:00
Star Community Bar w/ The Queers Atlanta, Georgia
23 Apr 2011 20:00
Rotown Rotterdam, NL, -, NETHERLANDS
24 Apr 2011 12:00
Merlinpop Meerlo, NL, -, NETHERLANDS

http://www.myspace.com/apers

J’inaugure la catégorie Chronique Cinéma avec une première chronique sur Date limite, par le réalisateur de « Very Bad Trip » Todd Phillips nous livre une bonne dose d’humour pendant plus 1h45 avec Robert Downey Jr. (Iron man 1,2; Sherlock Holmes…) et  Zach Galifianakis (Very Bad Trip…).

Date Limite raconte l’histoire de Peter Highman, un homme d’affaire sans ennuis et futur papa, tandis qu’il tente de prendre un vol pour Atlanta dans l’espoir de rejoindre sa femme dont l’accouchement  par sésarienne est imminent, il rencontre Ethan Tremblay, un acteur qui  force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays. Les 2 personnages vont s’attirer des tonnes d’ennuis dans ce road trip délirant.

La remarque Rockypunk : Le personnage d’Ethan Tremblay est un concentré d’immaturité et c’est ce qui en fait son charme. Date limite est une comédie à ne vraiment pas manquer.

viaDate limite Bande-annonce VF – AlloCiné.

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